La casquette pendant Chabatt

J'ai lu dans la Halakha dans le CHoulkhan aroukh qu'il est interdit de porter pendant Chabatt un couvre-chef qui aurait une largeur de 1 téfah et qui serait "rigide" puisqu'il y aurait un problème de "ohel".
J'ai l'habitude de porter une casquette pendant Chabatt pour me couvrir la tête durant la tephila (c'est ma seule motivation, et non pas de me protéger du soleil ou de la pluie dans la rue).
Puis-je continuer à la porter ou pas, puisque j'ai l'impression que le visière fait 1 téfah et que c'est plutôt rigide ?
Merci, en esperant avoir réussi a formuler ma question de façon claire.

Il suffit de changer de casquette et d'en prendre une qui n'a pas 10 cm de fond (en-dessous de 9 cm c'est plus sûr).
L'autre solution c'est d'en prendre une dont l'avant est souple.
Ou tout simplement un chapeau !

Excusez mon ignorance, mais j'ai du mal a comprendre comment un chapeau pourait être moins problématique qu'une casquette, vu qu'il est plus rigide et a généralement des bords plus larges.

A ma connaissance, les chapeaux à large bord ont des bords non rigides. Et ceux qui sont rigides n'ont pas la largeur qui pose problème.

Deux question sur ce sujet:
1. quelles sont les réferences sur le choulhan harouh?
2. Ohel est une mélaha d'ordre toraique, on devrait donc aller en fonction de la houmrah (avis le plus stricte) qui nous impose donc des casquettes inferieures à 8 cm, ce qui restrein encore plus les casquettes utilisables....

Si c'est le cas il y aurait une réél communication à faire sur ce sujet car beaucoup de pesonnes viennent à la shull en casquette (souvent pour des pb de sécurité et donc pour cacher leur kippa) et la grande majorité des casquette à une visière de largeur supperieur à 8 cm...

La référence du Schoul'hane Arouch est la suivante : Ora'h 'Hayim chap. 301, paragr. 40.
Un chapeau ou une casquette ne sont pas Ohel d'ordre toraïque mais uniquement d'ordre rabbinique car il s'agit d'un Ohel mobile.
Les coutumes varient comme aussi les opinions des décisionnaires.
Il est utile d'étudier ce qu'en dit le Mischnah Berourah sur place. (par. 150 et 152)