EPREUVES

Hachem nous envoi les épreuves que nous pouvons supporter.
Que dire de la survenance d'une dépression qui dure depuis plus d'une année ..... pour cause de perte accidentelle et violente d'un être cher, échec dans sa vie affective (jeune femme de 41 ans non mariée, et donc sans enfant).
Comment supporter les épreuves quand elles se succédent ?
Comment accepter une telle vie, une vie inutile , inutile pour soi , inutile pour les autres ?
Comment conserver sa Emounah, alors qu'on a toujours eu conscience que Hachem agit toujours pour notre bien, qu'il n'envoi que ce qui est bon pour nous, qu'on vit en faisant le bien autour de soi, de manière droite et honnête, et que l'on pratique pour l'amour d'Hachem sans attendre en retour.....
Mais lorsque qu'il y a un retour, mais fait que d'épreuves, alors STOP.
Quant ni la prière ni l'étude , ni le chant, ni le soleil, ne permettent plus de rendre la vie supportable, alors que faire ?

Bonjour,

Je viens de m'inscrire sur le forum bien que je le connaisse depuis longtemps car il est intéressant, j'ai mon avis à donner sur la religion et j'espère que je ne serais pas censuré (je commence à connaître la mentalité des personnes)...

rg3004 (j'espère que vous n'êtes pas des RG !)

Je suis moi même atteint de dépression depuis des années (7 ans) et je suis donc un peu dans la même situation que je connais que fort trop.

Sache tout d'abord que tu n'auras aucune réponse concrète d'un rabbin à ce sujet à la rigueur d'un psychiatre clinique ou universitaire (et encore ! vus les balbutiements de cette science).
Etant passé par des expériences aussi douloureuses que les tiennes malgré mon jeune âge, d'une maladie que je devrais porter jusqu'à la fin de ma vie, voire ma fin tragique je ne me fais guère d'illusion.

Cependant on peut discerner chez toi la réelle dépression de la mélancolie.
En effet il y a plusieurs types de dépressions toutes très complexes et la plupart psychosomatiques (ou déclenché par un facteur psychosomatique comme dans le cas de la mort de ton être cher).
Une maladie n'est pas forcément une épreuve d'Hachem mais la conséquence de beaucoup de choses.

Peut-être que pour le cas d'une dépression mélancolique après par exemple la perte d'un être cher, une séparation avec son conjoint ou tout facteur aggravant cela peut-être traité par des thérapies et dans un sens la religion, la prière, la "emouna" et la "simha" peuvent aider.
Elles peuvent même aider quelqu'un de très atteind.
Mais il ne faut pas trop entretenir l'illusion que "Dieu" ou qu'un Dieu ou Jesus vas te sauver définitement.
Les paroles de religion peuvent apporter un réconfort comme la croyance au paradis, que toi tu as droit au paradis parce que tu as souffert etc
C'est bien mais ceci n'est pas forcément la vérité.
La religion te fais croire qu'en priant et en entretenant une transcendance mystique tu pourras guérir, cela est faux.

Je peut te dire que pratiquer la religion apporte un plus, peut-être un équilibre, une vie saine, une paix social ...
Que le sentiment de parler et d'être porté par l'Eternel te rend hors de toute atteinte.
C'est vrai mais il y a aussi rien de plus faux.
Le monde est dure et une maladie ou une dégénérescence quelconque (ou peut-être dans ton cas un mal de vivre ajouté à des sentiments mélancoliques si c'est simplement social et psychique) est dure à supporter.
Et parfois il faut des solutions radicales et se soigner.
La foi en l'Eternel ne t'empêche pas de te soigner et de faire ce qu'il faut par des solutions radicales pour s'en sortir.
Il faut au contraire se sortir de la maladie en faisant des choses.
Si tu n'es pas mariée il faut chercher un mari et pas forcément là où tu crois. De toute façon cela ne vas pas tomber sur un plateaux.

De même pour trouver un remède et un sens à sa vie face à la réalité de plus insupportable de notre monde (il faut le dire ! nous vivons dans un monde monstrueux et avec des monstres, les juifs ne sont pas exempt).

Face à un environnement extérieur de plus en plus fatiguant, incertitude face à l'avenir, peur de l'extérieur, difficultés mentales et physique.

Il n'y a pas d'autre choix de résister et continuer à vivre....

Nous pouvons cependant améliorer notre quotidien en changeant notre régime, ce que nous mangeons, buvons, regardons.

Essayer de ce faire plaisir avant tout.

Et se concentrer et faire des exercices qui permettent une amélioration de l'ensemble physico-mental.
Ne pas se contenter des solutions toutes faites et des réponses toutes prêtes qui n'apportent rien.
Qui sont une sorte de baume mais en fait une fuite devant la réalité de la plaie ouverte.
Et une plaie mademoiselle ne peut être transcendé.
Ou oui mais avec des exercices et des épreuves que tu t'inflige à toi-même.

C'est la même chose pour moi mais nous devons organiser notre vie pour la vivre du mieux possible et faire des activités et un contrôle constant pour améliorer telle ou telle chose.

Dépasser son courage et passer à l'action.

Seule l'action compte car pendant l'action on pense à rien d'autre, ca nous fais du bien pour maintenant et pour après et ca nous construit pour l'avenir. Cela apporte des solutions.

Ton avenir est entre tes mains.

NO FATE pas de destin, ce que nous faisons est entre nos mains.

Joue ta vie avant qu'on joue la tienne.

Prends ton avenir en main et dirige ta vie.



Ca c'est pour la partie "rationelle"



En ce qui concerne plus directement Dieu ou la religion.

Sache que Dieu est avant tout la source de toute chose et de toute réalité, c'est le Hok de la matière et de l'antimatière, de la physique, de la métaphysique et de la métaquantique
Son trône se trouve autre part.
Donc comme dis la kaballa comme nous n'avons pas accès au keter nous sommes ici dans la malkhout merkava, dans le olam aassiya (monde de l'action).

Dieu dans son éxigence et son infinis bonté (en quelque sorte) demande la vérification de ses âmes, en particulier certaines neshamot juive et goy.

Si celle-ci est valide, elle peut-être reliée directement au Hok-Hachem.

En découle directement une souffrance qui sont sois/et des épreuves ou une conséquence de l'attachement de l'âme et du corps d'une personne au vrai Dieu c'est à dire sefira keter ou malkhout.
Si cette personne est véridique et à quelque chose à donner, a été testée elle a accès à une autre dimention.
Mais son actuelle positionnement sur terre et la différence de niveau entre l'instant et l'essentiel de sa mission sur terre ou de ce qu'elle aimerais vivre provoque une souffrance.

Certains sont reliés à baal (même des juifs) et reçoivent directement à un autre niveau d'être de qualité et d'intelligence.
Ceux-ci sont rayés définitivement du olam aba pour l'éternité comme le dis le verset :
2 Beaucoup de ceux qui dorment dans la poussière du sol se réveilleront, les uns pour une vie éternelle, les autres pour être un objet d'ignominie et d'horreur éternelle.
Nul retour pour certains aucune techouva possible.
A la fin il y a ceux pour qui auront vécus des souffrances pour le Salut du monde (car ils sont le socle divin sur terre et sa Royauté) la vie eternelle.

Il y a les autres qui n'ont aucun retour possible malgré leurs efforts, leur éventuel méa-culpa car leur ignominie à dépassé tout les stades.
Leurs vains efforts d'utiliser tel ou telle chose ne mène à rien car étant dans la vanité, le hevel alors que d'autres sont dans le hok (= souffrance) servant baal ils seront les serviteurs de baal pour l'éternité.

donc dans un sens nos épreuves ont un sens et sont une bénédiction étant donné qu'elle nous relève à un niveau d'être hors d'atteinte pour certains.

Lorsque s'opère la gueoula, la vérité et le tov se relève, le fruits à un aspect beaucoup plus délicieux.

Hachem dans sa grande bonté nous ouvre toutes ses portes pour nous faire atteindre l'infini sur terre et dans le ciel.



Je te conseille de mettre à profit tout ce que tu peut, quand tu es devant ton ordi profite de ton ordi, entretiens une relation saine et exagérée avec toute chose.
Quand tu es avec Dieu ou que tu souffre crie vers lui crie vraiment il ne te feras pas de mal.
Il n'y a pas de honte à avoir d'être sois-même, sortir des cliché, fais- ta propre personnalité, tu es peut-être différente.
On t'a peut-être empéché de vivre alors vie !
Si tu veux avoir des enfants et que tu aime les enfants vas voir des enfants en les aidant.
Peut-être que la ville où tu vie ne te conviens pas.
Sortir des guettos et se choisir une autre vie et changeant d'air peut aussi faire du bien.

Inutile de te répéter pleins de conseils tu les connais trop bien.

Mais à toi de voir.

Tu verras ainsi que tu reprendras gout à l'étude, à la prière, au soleil à la pluie car chaque chose viens d'Hachem et chacun de tes gestes à une valeur infinis.
Lorsqu'on auras pris autorité sur nous-mêmes et développé nos capacités.
Quand on auras détruit une partie du yetser ara, nous serons respectés et alors les portes s'ouvriront.
Il est vrai que cela demande des efforts mais c'est le prix à payer pour être les vrais serviteurs d'Hachem.


Avec tout mes sentiments de compassion envers vous.

Im Kol Tikva






Si tu veux m'écrire on échange nos adresses et j'aurais peut-être de meilleurs conseils à te donner et paroles de réconfort si je te connais mieux.

Cependant une précision dans ta question et en dévoilant un peu plus nous permettront d'entretenir le fil sur le forum et d'intéresser les éventuels lecteurs.

bonjour il est toujours intérressant de se référer a l'histoire Job qui avait tout dans sa vie , richesse , enfants etc et qui soudain a été mis a l'épreuve et donc Job avait jamais perdus la emounah.

donc il faut lire Job et prendre exemple.


il est dis que hachem envois d'abord le médicament et ensuite la maladie( l'épreuve)

souvent sur le moment nous ne comprenons pas.

un juif ne perd jamais réellement sa emounah il reste toujours lié a hachem même si il le sait pas.

nous avons une part de notre âme ici bas et une autre part en haut et donc nous restons indéfiniment lié a lui.

ces epreuves diverses peuvent nous mettre dans un état qui apportera une façon de mieux se raprocher de hachem.

il envois l'épreuve pour nous tester ou tester notre emounah.

et il sait que c'est pour nous faire grandir.

meme si vous (baissez ) votre pratique vous augmenterez par contre vos supplication dans les epreuves.

donc on peut dire en réalité que ces epreuves sont un rapprochement mais il faut parfois un certains temps pour comprendre.

il y a des bénédictions visibles et des bénédictions cachés.

celui qui sait transformé ces benedictions cachés auras alors accomplis un grand travail.

donc je vous souhaite de réussir a transformer votre épreuves en bien et a trouver cette (bénédictions ) caché dans cette épreuve.

c'est elle qui vous transformera b''h.

bessorot tovot

Shmuel.

Je trouve que la réponse de Neviya est complexe voire paradoxale.

Dans la pratique, c'est très bien de conseiller de changer d'habitude : Surtout s'agissant de ce qu'on mange car on ne sait plus se nourrir correctement et notre corps est submergé par trop de glucides et protéines animales qu'il n'arrive plus à gérer et pas assez de fibres, de vitamines, d'oligoéléments... de nourriture saine et non industrialisée avec partout plein d'OGM, de conservateurs, de stabilisants, voire d'antibiotiques (dans les animaux)... le stress aidant, c'est une catastrophe et on n'a plus les idées nettes et on perd le sommeil en plus... : On peut donc déjà investiguer sur le net dans cette voie d'une nourriture saine, avant de passer à plus sérieux en recherchant des gens vraiment compétents sur le sujet pour être guidé, or il en existe partout (et comme il est dit dans Meguila 6b : "celui qui dit : j'ai cherché et je n'ai pas trouvé ; Ne le crois pas! Je n'ai pas cherché et j'ai trouvé ; Ne le crois pas! J'ai cherché et j'ai trouvé ; Crois-le!).
La santé est en effet un pré-requis incontournable pour se sentir bien.
(Et puis d'ailleurs, changer d'alimentation est un excellent exercice pour s'habituer ensuite à changer de comportement et faire ainsi Téchouva).

Le paradoxe chez Neviya vient du fait de douter de nos Rabanim en déclarant gratuitement qu'on ne pourra jamais en tirer de réponse concrète (Neviya en a-t-elle vraiment cherché avant de dire qu'elle n'en avait pas trouvé?), puis de terminer le message avec une telle ode à notre Torah et au Judaïsme, c-à-dire à HaShem.
Or dans Pessa'him 22a, d'après Rabbi 'Akiva, "Tu craindras le Seigneur ton Dieu (Dévarim 6, 13) comme incluant la crainte des Sages" Ce qui veut dire que si on aime HaShem, on aime aussi les Rabbanim! Si on veut avoir confiance en HaShem, on commence par faire confiance à nos Rabbanim car ils sont la parole de HaShem. (des fois, ils nous disent des choses sans le savoir qui nous touchent exactement là où il faut : C'est parce que ça vient en réalité de HaShem qui sonde les cœurs et qui nous dit par leur intermédiaire [car ils sont Ses Shlou'him, Ses envoyés] exactement ce qu'il fallait qu'on entende et qu'on comprenne. C'est pourquoi eux plus que d'autres sont bien dignes de dire :"HaShem Sfataï Tifta'h ouFi yaguid Téhilatékha" (ouvre mes lèvres et ma bouche dira Tes louanges) car alors même s'ils n'en n'étaient pas conscients, HaShem placera toujours dans leur bouche les mots qu'il faut pour celui à qui c'est destiné. J'ai pu vérifier cela régulièrement depuis de nombreuses années auprès de nombreux Rabanim).

Maintenant, pourquoi sommes-nous sur terre?
D'après le Ram'hal, pour changer tout le mal qui s'y trouve en bien, or le Bien absolu étant HaShem, cela revient finalement à construire à HaShem une résidence ici-bas en instaurant partout le plus de bien qu'on peut le faire ; Ce qui chassera le mal.
Comment faire?
En suivant ce que nous demande HaShem : "Que te demande HaShem sinon de craindre le Seigneur ton Dieu, d'aller dans toutes Ses voies, de L'aimer et de Le servir de tout ton cœur et de toute ton âme" (Dvarim 10, 12).
Mais où Est-IL pour qu'on puisse l'aimer?
"Tu chercheras là-bas le Seigneur ton Dieu et tu Le trouveras si tu le cherches de tout ton cœur et de toute ton âme" (Dvarim 4, 29)
"Je me laisserai trouver par celui qui Me cherche de tout son cœur" (Jer. 29, 13).
Donc comme dit (en gros) le Mikhtav MeEliahou, celui qui veut, le peut!
Et transformer le mal en bien consiste dès lors, soit à faire Téchouva, soit à subir des épreuves (notamment quand on n'a pas la force de faire Téchouva).

Mais pourquoi alors tant d'épreuves? (sans se contenter simplement du fait que "HaShem châtie celui qu'IL aime" (prov 3, 12) ; Je me rappelle d'un ami qui disait : "Tant que ça IL nous aime?" :D )
Cela viendrait de Tikounim que nous avons chacun à réaliser pour mériter (enfin) le 'Olam Haba car il ne faut pas oublier qu’il est écrit "léfoum Tsara Hagra" (en fonction de l'épreuve, la récompense), et surtout aussi, qu’on peut modifier sa vie en choisissant son épreuve : Il suffit de faire Téchouva là où ça ne va pas (ça c’est une sacrée épreuve, pour ne pas dire, une épreuve sacrée).
Or d’accord : Pour nous, 70 ou 80 ans si on a de la force (aller, disons 120 ans), c'est long mais si ça ouvre sur l'éternité, ça vaut quand même le coup d'être vécu. Cette pensée devrait nous guider dans les moments difficiles et de plus, il convient d'avoir conscience que les heures difficiles sont infiniment moins nombreuses que les heures neutres, voire heureuses.
Il faut donc savoir construire son espoir et apprendre la patience (savlanout = humilité nous dit Rashi).

Je sais que c'est facile à dire mais moins à faire mais il faut se rappeler que "l'on mène l'homme dans la voie qu'il veut suivre" (Makot 10b) et "celui qui veut se purifier (donc, se rapprocher du Bien), le ciel lui vient en aide" (Shabbat 104a ou Yoma 38b).
Toute la difficulté consiste à savoir saisir le type d'épreuve que l'on vit afin de faire tikoun (Téchouva) sur une imperfection morale (mauvaise mida) que l'on aurait et qui serait en rapport direct avec l'épreuve (mida kénégued mida).
Assurément, en travaillant sa propre patience, on acquiert de l'humilité et l'on cesse peu à peu de se tourner vers soi ; on apprend ainsi à se tourner vers les autres, puis à donner aux autres plutôt qu'à soi et cette nouvelle vie qui se dessine nous absorbe peu à peu et curieusement alors, les épreuves cessent sans qu'on s'en aperçoive. Tout ça est du même tonneau que celui qui court vers les honneurs, ceux-ci courent devant lui, mais celui qui cherche à s'en éloigner, les honneurs le rattrapent.

Je ne sais pas trouver les mots tendres et doux qu'il faudrait pour rg3004 mais je voudrais aller dans le même sens que Neviya en lui disant :
1) qu'elle prenne à cœur de chercher à équilibrer son alimentation en explorant ce qui ne va pas (éventuellement une prise de sang pour savoir aussi en plus du "classique", le taux de fer, de magnésium (visiblement déficient), calcium, zinc... et même vitamine (B3, B6, B12, C, D, A...) etc...
(il faut insister parfois auprès du médecin pour qu'il consente à prescrire une telle analyse sanguine mais c'est vraiment salvateur!).
2) Qu'elle regarde autour d'elle, comment elle peut se rendre d'avantage utile : IL Y A FORCEMENT QUELQUE CHOSE DE PLUS à faire pour quelqu'un qui en a besoin.
3) Qu'en dehors du 1) cité ci-dessus, qu'elle s'implique plus dans les autres et qu'elle cesse de penser à elle. Qu'elle le fasse par exemple en mémoire de la personne disparue.

Plus elle donnera aux autres par sa peine, plus elle prendra des forces, plus elle rencontrera du monde, plus elle sera appréciée et aimée, plutôt elle rencontrera son zivoug !
Amen ken yehi ratson!

je sais que ce que j'écris n'est pas aussi savant que les messages des autres.
Mais je te conseille surtout pour supporter ces épreuves de rester a tout pris dans la joie.
Souris a la vie et souris tout court!
Je pense que plus on est joyeux plus on se rapproche de dieu et que le seul moyen d'arranger les choses est de rester dans la joie.
N'avez vous pas remarqué (en tout cas pour moi oui) que lorsque l'on est joyeux aucun souci n'arrive, on devient presque intouchable.
n'as tu ^pas remarqué que dans la joie tout se débloque, on est plus apprécié moins timide et deux fois plus actif.
Je ne cesserais de le répeter reste dans la joie.
Comme il y a écris dans la Torah je crois " tu garderas le sourire sur ta face"
et je pense que en souriant on devient plus joyeux .
Cela s'explique même plus scientifiquement : le cerveau est a habitué a sourire lorsqu'on est joyeux et c'est devenu une habitude. Et je pense que la réciproque est vraie.
ENfin bref devant tout épreuve reste dans la joie et tout s'arrangera.
L'éxpérience m'a appris pour cela qu'il faut se forcer a sourire, se forcer a tous pris a penser a des choses joyeuses et toujours s'occupêr l'esprit.
Ne reste jamais sans rien faire car dans ces moments tu es proie au désespoir. Pour être heureux je te conseille aussi de faire du sport régulièrement, d'écouter la musique qui te plais chaque jour ainsi que un sketch de ton comique préféré.
Si tu a fais une éreur dans le passé oublie la ! n'y pense jamais !
Comme le dis un proverbe " n'essaye pas de scier la sciure".
penser a ton passé ne changeras rien !
Quel que sois ton érreur oublie ! Le passé est inchangeable vis au présent !
Si tu as eu un passé triste arrange toi pour avoir un avenir glorieux.
Surtout demande a dieux du courage non pas pour affronter les épreuves
mais pour rester dans le droit chemin.

PS JE suis vraiment désolé d*'avoir fais tant de fautes aussi bien pour la syntaxe que pour le*'orthographe mais j'espere que tout de meme cela pourra apporter une aide.

@raphaël1,

Je ne sais pas pourquoi j'ai écrit une si longue tirade (pas facile à lire en plus car en me relisant plusieurs semaines après... je trouve que c'est ardu :( ) car tu as su tout résumer en traitant de la Sim'ha!

Merci beaucoup donc, car je prends ton message aussi pour moi et j'espère que cette journée sera douce pour nous tous!

Mitsva Gdola lyote BéSim'ha Tamid! (C'est une grande Mitsva d'être toujours en joie!)

:) :) :)